Programme de la Fête des Langues et des Cultures MAI 2024

Découvrez le programme et informations pratiques sur le site www.lepointfort.com

Square Roser, 38 Rue Gaëtan Lamy, Aubervilliers

Mercredi 26 juillet à 16h

Dans le cadre de l’Olympiade culturelle, la Maison des Langues et des Cultures d’Aubervilliers souhaite mettre en avant les jeux du monde pour valoriser les cultures, d’autres façons de se mesurer les uns aux autres et renouer avec la tradition de présentation de disciplines moins connues notamment dans le cadre des expositions universelles qui étaient concomitantes aux Jeux Olympiques lors des premières éditions.

En Asie et plus particulièrement en Afghanistan, le cerf-volant est extrêmement populaire tout comme le Carrom que l’on surnomme aussi billard indien. Deux ateliers ouverts à tous les publics ! 

Jeudi 20 juillet à 17h au Square Eli Lotar, 2 Rue Lounès Matoub, Aubervilliers

Dans le cadre de l’Olympiade culturelle, la Maison des Langues et des Cultures d’Aubervilliers souhaite mettre en avant les jeux du monde pour valoriser les cultures, d’autres façons de se mesurerles uns aux autres et renouer avec la tradition de présentation de disciplines moins connues notamment dans le cadre des expositions universelles qui étaient concomitantes aux Jeux Olympiques lors des premières éditions.

La pétanque est l’un des sports les plus populaires en France, sans être pour autant discipline olympique.

Métro Front Populaire (Ligne 12)

Jeudi 20 juillet à 9h

Lundi 24 juillet à 17h30

Dans le cadre de l’Olympiade culturelle, la Maison des Langues et des Cultures d’Aubervilliers vous propose une visite historique du Landy et de la Plaine Saint-Denis. Une visite avec Anouk Colombani, guide-conférencière : à la fois l’histoire des lieux et l’histoire des gens qui ont peuplé ces lieux, entre histoire individuelle et histoire collective.

Encadré par les voies de chemin de fer du nord et le canal Saint-Denis, et limitrophe au sud de la ville de Paris, le quartier de la Plaine Saint-Denis a été pendant 100 ans la plus grande zone industrielle d’Europe.

Qu’en reste-t-il aujourd’hui, quelles sont les transformations qui l’ont marqué ?

La construction du Stade de France en 1998 a donné le coup d’envoi au renouveau de ce quartier, touché de plein fouet par la désindustrialisation.

Vous suivrez les traces de son histoire : des entrepôts, le chemin de fer industriel, des pignons d’usine, un petit territoire espagnol et même la première habitation à bon marché, « la Ruche ».

Vous serez surpris de la modernité affichée de certaines architectures, l’église Saint-Paul de la Plaine ou l’immeuble du CNAM, la maison des sciences de l’homme, et bien sûr le Campus Condorcet, pôle international de recherche en sciences humaines, qui redynamise le quartier des anciens entrepôts et magasins généraux de Paris.

Départ au métro Front Populaire (ligne 12) et arrivée au RER La Plaine – Stade de France.

Square Roser, 38 Rue Gaëtan Lamy, Aubervilliers

Mercredi 19 juillet à 16h

25 au 28 juillet à 10h

Réalisation collective d’une bande dessinée par un groupe d’une dizaine de participants dans l’espace public. La règle du jeu consiste à faire un dessin qui continue une histoire entamée par les dessins déjà accrochés dans le parcours de la BD.

Les participants devront s’entendre entre eux lors de l’atelier pour que leurs dessins ne racontent pas le même épisode de l’histoire. Ils renforceront également les interactions entre leurs dessins en s’accordant sur le sens que leur histoire doit prendre.

Afin d’orienter l’histoire, l’intervenant peut proposer un dessin surprise qui introduit un nouveau personnage ou un événement clef : les jeunes pourront alors continuer l’histoire en proposant une “réponse” à ce nouvel élément.

Dès que la séance est finie les dessins sont accrochés dans le parcours afin de faciliter la lecture de l’histoire par les autres enfants et les futurs passants.

Square Roser, 38 Rue Gaëtan Lamy, Aubervilliers

Mercredi 19 juillet à 16h

Dans le cadre de l’Olympiade culturelle, la Maison des Langues et des Cultures d’Aubervilliers souhaite mettre en avant les jeux du monde pour valoriser les cultures, d’autres façons de se mesurer les uns aux autres et renouer avec la tradition de présentation de disciplines moins connues notamment dans le cadre des expositions universelles qui étaient concomitantes aux Jeux Olympiques lors des premières éditions.

L’awalé est le plus répandu des jeux de la famille mancala, ensemble de jeux africains de type « compter et capturer » dans lesquels on distribue des cailloux, graines ou coquillages dans des coupelles ou des trous, parfois creusés à même le sol.

Mardi 18 juillet à 17h au Square Eli Lotar, 2 Rue Lounès Matoub, Aubervilliers

17h : Circuit Training – GONGLE

Ce nouveau projet du groupe d’artistes et de chercheuses GONGLE interroge la place des technologies de l’information et de la communication dans le travail contemporain et la façon dont celles-ci nous rendent immobiles, physiquement et psychiquement, allant parfois jusqu’au burn-out. L’athlète, la circassienne et l’autrice proposent un circuit training** mobilisant le corps et la biographie des spectateur·rice·s pour retraverser avec elle l’enquête. Après un échauffement collectif, le public est constitué en petits groupes qui sondent la marque du travail sur leur propre corps en pratiquant tour à tour une approche circassienne puis sportive, pour ouvrir une discussion sur la place de l’informatique dans leur travail et les espaces de reprise du mouvement. Pensé de façon inclusive, sans prérequis physique, le volet expérientiel fini sur un temps d’étirements en douceur.

16h, en première partie : Concert de Michel Pichon alias PichMi.

« Après une longue période de vie « comme tout le monde », il a claqué la porte au monde des normes, des valeurs consommatoires. Il a choisi de suivre une route, la sienne, celle que lui a ouvert son Bandonéon : « tous les chemins mènent à Aubervilliers » dit-il. Faire vivre la musique, la poésie… Cela l’a conduit à se donner un nom d’artiste de rue : Pitch’Mi, l’oiseau en Wolof. Il se présente comme « joueur de mélo-bandit-bandonéon », au service de la rue et de l’espace public. » (Maryse Emel)